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gogol et ahmadinejad, à propos de la (guerre de) religion

Ahmadinejad dénonce les blasphémateurs 

Le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad a déclaré : "Ceux qui dans la politique sont à court d'idées finissent pour compenser, par blasphémer la face lumineuse des prophètes en obtenant de cette façon un retour à l'époque de l'Yahiliyah [ou de l'Ignorance ] et à une attitude rétrograde regrettable."
Ahmadinejad, qui a tenu ces propos pendant la cérémonie de la XXIII édition du Livre de l'Année, a ajouté : "malheureusement, aujourd'hui l'humanité est entre les mains de quelques personnes qui n'ont rien perçu de la dévotion à Dieu, ni de la spiritualité ni de l'éthique."

Ahmadinejad a considéré que les prophètes appartiennent à toute l'humanité et doivent être respectés par celle-ci, et a expliqué que "des saints comme Mahdi, Moise, Noé et le prophète de l'Islam n'appartiennent pas à un groupe déterminé de personnes."

"Insulter le grand prophète de l'Islam n'élève pas votre position et je leur recommande de retourner à la culture des prophètes"a-t-il ajouté.

Après avoir souligné que l'humanité a trouvé aujourd'hui son chemin, il a déclaré que "nous sommes des témoins de comment partout dans le monde les nations sont enrichies par les enseignements des prophètes. Toutes les civilisations consolidées et humaines sont le produit des enseignements des prophètes."

Ahmadinejad a assuré que ces insultes n'affectent en rien l'image des prophètes divins.

 

 
Un extrait  de Tarass Boubla de Nikolaï Gogol (1809 -1852) à propos de la guerre menée par la religion :
 
"On sait en pays russe ce qu'est la guerre menée par la religion . Il n'est pas de force plus puissante que la foi, elle est implacable et invincible, solide comme un roc dressé au milieu de la mer éternellement orageuse et changeante, et qui du fond de l'océan élève vers le ciel des murailles inébranlables, formées d'un seul bloc de granit massif. De toutes parts, on l'aperçoit tandis qu'il semble considérer avec mépris les vagues qui fuient au loin. Malheur au navire qui vient le choquer : sa coque brisée vole en éclats, tout sombre dans un grand fracas, l'air résonne des cris déchirants poussés par les malheureux qu'englotissent les fots."


22/01/2007
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