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vincent présumey — des informations que tous les syndicats ...

Des informations que tous les syndicats et militants ouvriers devraient connaître et diffuser



 


Symptômes.

Le 27 septembre dernier les chauffeurs de taxi, à l’appel de tous leurs syndicats, ont manifesté à 6000 à Paris, en taxi, provoqué des embouteillages monstres notamment prés des aéroports, et contraint immédiatement le gouvernement à reculer partiellement sur son projet de déréglementation totale de la profession, voulu par la Commission européenne. Peu de parisiens circulant ce jour là ont pu ne pas remarquer ce mouvement ou ses conséquences, mais le silence médiatique a été total : "le vide sidéral de ces espaces infinis m’effraie" ... Le fait est là : une profession, salariés et artisans en la circonstance unie, s’est levée contre le gouvernement qui a préféré mettre la pédale douce.

Depuis une dizaine de jours, dans toute la France, un mouvement des internes et des étudiants en Médecine se généralise, sous forme de grève des gardes, astreintes, etc., et d’assemblées générales massives. Au motif de favoriser l’installation de médecins dans les zones rurales défavorisées, c’est-à-dire dans les zones ou sa politique et celle de ses prédécesseurs, de casse du service public, écoles, postes, hôpitaux, a créé des déserts médicaux, le gouvernement prétend retirer le conventionnement aux médecins "en surnombre" qui s’installerait dans les zones dites "surmédicalisées". Au motif hypocrite d’aider les zones désertifiées, il cherche à restreindre l’offre urbaine de soins et veut multiplier les installations de médecins dont les honoraires ne seraient plus remboursés par la Sécurité sociale. La révolte des jeunes médecins -qui sont aujourd’hui, en majorité, des femmes- contre cette infamie porte en elle la résistance de toute la société à la destruction de la Sécurité sociale reposant sur le salaire socialisé, que Sarkozy veut détruire.

Pendant ce temps, Denis Gautier-Sauvagnac, capitaliste pur, c’est-à-dire non attaché à telle ou telle branche (il fut banquier, directeur de l’Union laitière normande, il dirige l’Union des Industries Métallurgiques et Minières au Medef dont il est le grand "négociateur") est dans le collimateur de la brigade financière pour des détournements de fonds (les fonds du Medef ! ) atteignant les 15 millions d’euros, soupçonnés d’avoir servi au ... mais au "dialogue social", bien sûr ! D’ailleurs, des "négociations" sur le "marché du travail" ont démarré sur les revendications du Medef : il s’agit d’imposer le licenciement "à l’amiable" ne pouvant plus être contesté et la création de CDI sur "mission", c’est-à-dire des contrats à durée indéterminée mais à ... durée déterminée (quels dialecticiens, ces patrons ! ). Hé bien, les confédérations syndicales s’y rendent, toutes. Mme Parisot confirme que le brillant "négociateur" et est reste le sieur Gautier-Sauvagnac. Hé bien, les confédérations s’y rendent toujours, toutes.

Pendant ce temps, éclate une gigantesque affaire de délit d’initié sur EADS, qui fut aussi le foyer de l’affaire Clearstream et dont on sait qu’en même temps qu’ils organisaient leur enrichissement personnel les dirigeants lançaient le fameux plan "Power 8". Affaire dont il est impossible que les principaux membres du gouvernement qui les a couverts, ne l’ait pas couverte. Tout simplement impossible, c’est ce que disent tous les experts en affaire et en droit des affaires. En clair, tous, donc, sont convaincus que les "politiques" ont "touché" jusqu’au sommet, le sommet de l’époque, et le sommet d’aujourd’hui qui à l’époque visait le sommet ... vous saisissez ?

En France bonapartiste, ce genre de choses ne font pas tomber les coupables du Capitole à la Roche Tarpéïenne. Mais leur sortie maintenant n’est pas un hasard. Les failles s’élargissent, les brèches commencent à apparaître. A quel moment précis ? Au moment précis où Sarkozy a déclaré la guerre à la classe ouvrière et où celle-ci commence à chercher à se regrouper.

Dans une école primaire, dans une ville de province. Une militante syndicale, institutrice, se lamente que ses collègues ne soient pas au courant de la grève du 18 octobre, car elle pense, à juste titre, que de fait le 18 octobre sera perçu comme le premier affrontement frontal entre les salariés et Sarkozy. Elle déplore donc l’ignorance de ses collègues, qu’elle s’efforce toutefois de renseigner. Mais il se produit alors quelque chose d’inattendu : les Atsem, c’est-à-dire les "dames de la Maternelle" sous-payées et si importantes pour les tout petits, les animateurs municipaux qui conduisent les gosses à la cantine, les agents de service qui balaye le soir, viennent la trouver : "alors, le 18 octobre, on fait quoi ?". La dernière fois que ce genre de chose s’était produite de cette façon -une lame de fond lente, tranquille, déterminée, prudence, qui commence par les personnels aux plus bas salaires des services publics, souvent non fonctionnaires- c’était en 1995.

Mais les militants avaient, en ce début de semaine, une sérieuse raison de douter. Toutes les fédérations de fonctionnaires devaient se retrouver ce lundi soir 1° octobre. C’était d’ailleurs un peu ennuyeux qu’elles aient choisi cette date pour se retrouver, car elles se calquent ainsi sur le calendrier de Sarkozy : le 1° octobre était la date de la première "rencontre au sommet" Etat-syndicats pour que l’Etat dicte aux syndicats quels sont "les principes et les missions" de la Fonction publique. L’indépendance syndicale, ce n’est pas d’aller à ce genre de synodes, ce n’est pas de calquer son calendrier sur celui de Sarkozy. Toujours est-il que les militants s’attendaient à des appels à la grève le 18 octobre, avec les cheminots et EDF et GDF. Au moins d’une partie des fédérations. Toutes, dans l’unité, ont courageusement, héroïquement, déclaré ... qu’elles se rencontreront à nouveau le 25 octobre !

Sans nul doute, cette déclaration, même nuancée par l’appel à la grève le 18 de l’UGFF CGT et par la déclaration invraisemblable de la FSU qui appelle au 18 sans appeler à la grève mais sans l’interdire non plus mais en précisant bien qu’elle n’appelle pas, n’est-ce pas ... sans nul doute, ceci était un coup frontal contre le mouvement, non seulement des militants, mais des couches de plus en plus nombreuses et profondes de la classe ouvrière qui cherchent à contre-attaquer pour défaire Sarkozy, seule alternative au scénario dans lequel c’est lui qui nous défait.

Cependant, ce n’est qu’un barrage partiel qui n’interrompt pas le mouvement. La poussée vers la grève le 18 sera puissante. Les faiblesses de la grève ce jour là ne viendront pas des travailleurs, mais des dirigeants.

Voila le problème. Ce n’est pas un problème "syndical". Politiquement, on l’entend tous les jours, "il n’y a plus d’opposition". L’opposition, pourtant, aux conséquences du capitalisme, est partout dans le pays. Voila pourquoi nous nous regroupons autour de l’appel "Le droit de grève n’est pas négociable". Voila pourquoi nous appuyons le regroupement pour l’abrogation de la loi Pécresse dans la jeunesse et les universités. Voila pourquoi nous travaillons dans l’intergroupe avec divers groupes de militants, appelé à s’élargir en travaillant sur une plate-forme pour vaincre Sarkozy. Voila pourquoi Liaisons et le Militant se regroupent : parce que démontrer que des militants, à l’origine de cultures différentes, qui n’ont aucune raison d’être organisés séparément, doivent s’associer politiquement. Et nous sommes en fait des millions, oui, des millions, à en arriver aux mêmes conclusions. En nous associant, nous referons l’Histoire.



Des informations que tous les syndicats et militants ouvriers devraient connaître et diffuser.

Pour faire appliquer la loi anti-grève par les syndicats, les "négociations" tentent de se mettre en place. Laborieusement.

Fin septembre une première série de réunions ont eu lieu, patronat-syndicats, sous l’égide du ministère des transports. Soulignons ce cadre : des "négociations" sous l’égide du ministère, pour appliquer sa politique. Il fut un temps où on aurait appelé cela la "corporation nationale du transport" ... Le but est bien d’intégrer les syndicats de la base au sommet pour en faire autre chose que des syndicats : voila ce que Sarkozy appelle des "syndicats forts" !

Une remarque importante s’impose. Très peu de personnes sont au courant des ces "négociations". Il faut recouper ce que tel ou tel camarade a entendu avec des recherches sur Internet pour restituer avec quelque vraisemblance le fil des évènements rapporté ci-dessous. La raison s’impose d’elle-même : ce qui vise à tromper n’aime pas la lumière. Mais ce serait aux fédérations syndicales concernées à tout publier, notamment d’ailleurs à celles d’entre elles qui, on va le voir, semblent ne pas vouloir s’engager plus avant dans cette dangereuse aventure. Cette absence de publicité et de transparence n’aurait-elle pas pour cause le fait que si les travailleurs savent, alors de telles "négociations" sont impossibles ?

Pourquoi ne pas appeler à la grève le 18 octobre en rapportant ce qui a commencé à se passer, pour que cela s’arrête : donc en mettant au centre du regroupement du salariat, à coté de la défense des régimes de retraites par répartition par le retour aux 37,5 annuités pour tous, l’abrogation de la loi anti-grève dans les transports terrestres ?

Donc, le mardi 25 septembre, a eu lieu une première réunion entre les syndicats et la FNTV (Fédération Nationale des Transports de Voyageurs, patronat des cars interurbains et des transports scolaires), première "négociation" donc, dans le cadre de la loi anti-grève et pour l’appliquer, ainsi qu’elle l’indique. Cette "négociation" s’est divisée en deux réunions, l’une sur les transports scolaires, l’autre sur les transports interurbains.

La réunion sur les transports scolaires a tourné court : tous les syndicats sont partis. Gérard Appruzese, secrétaire de la fédération FO des transports, a déclaré : Pourquoi discuter de règles déjà écrites et qui seront de toutes façons appliquées à partir du 1°janvier 2008 ?"

Pourquoi, en effet ? La question pour laquelle tout syndicaliste indépendant est au pied du mur, c’est précisément d’empêcher l’application de ces règles anti-ouvrières et anti-démocratiques.

A la réunion sur les transports interurbains (secteur routier de voyageurs), la fédération CGT des Transports (qui regroupe 6 branches : transport urbain, transport aérien, transport routier avec marchandises, voyageurs, convoyeurs de fonds, ambulanciers, déménagement, logistique, coursiers, grande remise) a fait une déclaration préalable :

" ... les déclarations du Président de la République qui viennent se rajouter au vote de la loi dite de service minimum sur laquelle nous allons revenir, sont de véritables déclarations de guerre contre les salariés de ce pays."

Mais elle poursuit ainsi :"La première réponse est d’être présents partout où les salariés sont visés et donc en premier lieu aujourd’hui, ici même." . .. tout en affirmant : "Le droit de grève obtenu est un droit fondamental pour chaque salarié. Ce n’est pas négociable."

Mais dans cette "négociation", de quoi est-il question, sinon d’appliquer la loi anti-grève ? La fédération CGT des Transports poursuit en expliquant qu’elle espère qu’un accord se dégagera avec le patronat pour parler ensemble de l’amélioration du service public, "même si cela prend le contre-pied" de la loi anti-grève qui fixe le cadre de la dite négociation, indique ce qui doit être signé et annonce par avance que de toute façon cela s’appliquera au 1° janvier. Qui s’agit-il ici de convaincre ?

FO,le syndicat autonome FNCR et la CFDT ont quitté la réunion. La fédération FO a fait savoir que son mandat était "de refuser de participer à une négociation qui aurait pour but de transposer dans ces secteurs une loi rejetée par toutes les organisations syndicales." En toute logique, cette position claire devrait faire que FO ne participe plus aux dites "négociations". Mais la CGT est restée est rendez-vous était pris pour le 4 octobre, CGT, CFTC et CGC s’engageant à venir. Les représentants patronaux ont déclaré que ceux qui partaient "ne respectent pas la démocratie". Ben voyons !

Le jeudi 27 septembre, l’UTP (Union des Transports Publics, patronat des transports urbains des villes de province) se rencontrait sur le même sujet avec les fédérations, sous l’égide du Ministère des transports.

FO est venue pour déclarer qu’elle ne souhaitait pas négocier l’application de la loi, et est partie.

La CGT a lu la même déclaration que deux jours avant, et est partie après FO, déclarant ensuite à l’AFP qu’elle ne veut pas se fermer au "dialogue social", donc qu’elle va revenir ...

La CFDT a expliqué que dans les transports urbains, le patronat est "moins dur" que dans les transports interurbains, et donc que là, elle resterait pour "négocier".

La CFTC a déclaré qu’elle resterait pour "atténuer ce qu’il y a de coercitif dans la loi" ( ? ! ).

L’UNSA s’est félicitée d’être là : en effet, le ministère du travail a reconnu la représentativité de l’UNSA dans la branche une semaine avant ...

Les patrons de l’UTP ont estimé que tout cela était de bon augure et que dans les 15 jours les choses se concrétiseraient, et qu’eux allaient faire un effort pour la "confidentialité" des déclarations imposées aux futurs grévistes dans la loi 48 heures à l’avance (c’est très rassurant, ça vaut le secret de la confession : le patron sait que vous vous êtes "déclaré" grévistes et il assure la "confidentialité" de la chose ! ! ! ) et a promis une amélioration des moyens attribués aux organisations syndicales.

Remarquable promesse, qui signifie en clair : si vous marchez droit, et surtout si vous nous aidez à faire marcher droit les salariés, on va vous payer ! (Une pensée pour M. Gautier-Sauvagnac ...).

Notons d’autre part que cette "négociation" aux termes de la loi porte sur le "dialogue social", c’est-à-dire surtout sur le préavis du préavis prévu par la loi, qui allonge à 12 jours la durée réelle d’un préavis de grève. En toute rigueur juridique, elle ne devrait pas porter sur la mise en place du soi-disant "service minimum" dont relève la "déclaration" des grévistes 48 heures à l’avance, laquelle devrait être imposée à partir du 1° janvier suite à des pseudo "négociations" entre les autorités organisatrices de transports (conseils régionaux et généraux, non seulement pour la SNCF mais aussi pour les transports par car interurbains et urbains, ces derniers concernant aussi des municipalités et surtout des Communautés d’agglomération). Mais l’on voit que les patrons ne sont pas aussi respectueux des formes et "discutent" de tout quand il s’agit de leurs intérêts. Sans doute aussi sont-ils inquiets sur l’état d’esprit des représentants syndicaux au niveau local, plus proches ou plus soumis à l’influence de leurs camarades de travail. Aussi cherchent-ils à verrouiller dés le stade de la "négociation de branche" de crainte que localement, ça ne suive pas. On mesure là la profondeur d’une "revendication" exprimée par la confédération CGT au lendemain de la validation de la loi anti-grève par le Conseil constitutionnel, fin août : que les "négociations" aient lieu au niveau des branches transports et pas par entreprises ! La vraie revendication, c’est qu’il n’y a rien ici à négocier !

Suite de ce feuilleton que l’on ne raconte pas aux travailleurs : le jeudi 4 octobre, nouvelle rencontre syndicats-FNTV sur les transports interurbains, faisant suite à celle du 25 septembre. FO comme annoncé ne vient pas, la CFDT et la FNCR boycottent la réunion. CFTC, CGC et CGT sont là. La présence décisive comme caution à la mise en oeuvre de l’application de la loi est bien entendu celle de la CGT, la première centrale ouvrière.

La fédération CGT déclare qu’elle vient dans un esprit "constructif et offensif" pour aller vers une "vraie modernisation de la démocratie sociale dans ce secteur d’activité" et déplore que les Autorités organisatrices de transports ne soient pas tout de suite associées à la "négociation". Cette position est présentée comme pouvant favoriser la prise en compte des "critères sociaux et environnementaux dans les marchés publics". Position surprenante en vérité, puisque cela revient à demander de décider tout de suite, avec les patrons et avec les Conseils régionaux et généraux, des modalités d’application de la loi anti-grève. Position qui survient alors que dans une réunion de l’ARF (Association des Régions de France, regroupant les Conseils régionaux, tous à gauche et à présidences PS depuis 2004 sauf la Corse et l’Alsace) les vice-présidents communistes ont déclaré sur le "service minimum" qu’ils "ne souhaitent pas que les Régions soient le fer de lance de cette nouvelle réforme" et que, en somme, l’Etat ne doit pas faire faire le sale boulot par les Régions. Nul doute qu’un refus des exécutifs régionaux qui ont été élus en 2004 non pour appliquer, mais pour s’opposer, à la politique des gouvernements de droite, serait un puissant point d’appui pour bloquer la loi anti-grève et aider les salariés. La proposition faite par la fédération CGT des transports, qu’elle qu’en aient été les intentions, à la réunion du 4 octobre, revient au contraire à exiger l’implication des Régions dans l’application de la loi !

Cependant, les patrons de la FNTV remettent un document. La CGT constate que "celui-ci ne reprend que les dispositifs de la loi visant à encadrer et à réduire le droit de grève, oubliant totalement le principe d’amélioration du dialogue social." Evidemment ! Quand au "dialogue social", son sens réel, c’est l’application des lois anti-ouvrières par les syndicats. Il n’y en a pas d’autre. La fédération CGT va jusqu’à feindre la surprise en constatant que "la FNTV [branche du MEDEF] s’aligne sur le gouvernement"  !

Au terme de ces palinodies, une chose importante a lieu : la CGT part en déclarant : "La CGT refuse de s’inscrire dans une pseudo "négociation" qui vise à remettre en cause le droit d’expression des salariés que constitue la grève."

Résumons.

Après quinze jours de début des "négociations" pour appliquer la loi anti-grève, la CGT a rompu les négociations dans les transports interurbains, ainsi que la CFDT et la FNCR, FO ne participe plus à aucune "négociations", et aucun syndicat de salariés ne participe aux "négociations" dans les transports scolaires. Tout cela se déroule dans une grande discrétion, et permet pourtant de mesurer la pression de la base des syndicats, qui appartiennent aux travailleurs et pas aux gouvernants et aux patrons.

Ils ne nous enlèveront pas nos syndicats comme ça !

Rupture de toutes les pseudo "négociations" !

En octobre, celles-ci devraient démarrer dans le maillon clef : la SNCF.

Aucune négociation à la SNCF : N’y allez pas et tous ensemble dans la grève le 18 octobre, entraînant les salariés des autres branches, pour notre cause commune qui contient la défense du régime de retraite des cheminots :

- ABROGATION DE LA LOI ANTI-GREVE DANS LES TRANSPORTS TERRESTRES.

- DEFENSE DES REGIMES DE RETRAITE PAR REPARTITION PAR LE RETOUR AUX 37,5 ANNUITES POUR TOUS.

C’est ainsi que, contre la dispersion branches par branches, contre les pseudo "négociations" sur les retraites, sur le marché du travail, sur toutes les contre-réformes de Sarkozy, nous préparerons la contre-attaque de toute la classe des salariés, pour défaire Sarkozy.

Vincent Présumey,

pour La Lettre de Liaisons n° 228.
http://site.voila.fr/bulletin_Liaisons


 



12/10/2007
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