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Le vaccin de la grippe porcine



14/09/2009
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Lien évident entre la croissance de l'autisme et les vaccinations
Première partie : "C'est les vaccinations, stupide!"
 
 

L'OMS et la CDC (Centers for Disease Control and Prevention) du Gouvernement Américain montent en exergue un conditionnement psychologique du public pour créer une hystérie et la panique auprès du public mal informé au sujet du supposé « virus » de la grippe A ou grippe porcine, dont les effets à ce jour s'apparentent à ceux d'un gros rhume. Avant que les gens ne fassent la queue dans les rues en demandant un vaccin pour eux-mêmes et leurs enfants, il serait sage de rappeler, pour la paraphraser, une  invective de Bill Clinton à George Bush lors de la campagne électorale de 1992: « C'est les vaccinations, stupide! »

Selon de nombreux scientifiques, la grippe porcine elle-même comporte beaucoup moins de dangers  que de nombreux problèmes de santé comme la paralysie, les atteintes au cerveau et même la mort qui proviennent de ce qui est ajouté aux vaccins par pratiquement tous les fabricants de vaccins. Pratiquement sans exception, tous les vaccins commerciaux contiennent aujourd'hui des substances appelées « adjuvants », conçus pour faire « marcher » le vaccin. Ces adjuvants sont la source de maladies gravissimes et parfois mortelles.

On a soupçonné pendant un temps qu'il pourrait y avoir un lien entre la croissance alarmante des cas d'autisme chez les nourrissons et les petits enfants et les vaccinations massives et multiples qu'on pratique machinalement aujourd'hui, même à des enfants qui ne sont nés que depuis quelques heures. Le lien entre ces deux faits est évident et choquant. Si vous êtes fragile, ne lisez pas ce qui suit.

Une nouvelle étude montre un lien direct entre la série de vaccination intensive MMR (rougeole, oreillons et rubéole) et des symptômes proches de l'autisme chez les singes. La principale scientifique impliquée  dans l'étude, Dr. Laura Hewitson de l'Université de Pittsburgh, a présenté des conclusions alarmantes sous la forme de la publication d'un abstract au  symposium international pour la recherche sur l'autisme. Ceci a aussi été présenté à des conférences scientifiques à Londres et à Seattle.

L'étude a comparé des macaques vaccinés avec des macaques non vaccinés. Les scientifiques présents n'ont pas relevé d'erreur dans l'étude. Les vaccins incluaient la série MMR. L'étude a relevé une augmentation des problèmes gastro-intestinaux et de problèmes d'infections pour les macaques vaccinés. Il y a un symptôme commun avec les enfants souffrant d'autisme régressif.

L'étude a aussi relevé des modifications et des différences de développement sur les singes ayant été vaccines par rapport à ceux qui ne l'étaient pas. L'auteur de l'étude déclara que  « en comparaison avec les animaux non exposés, les animaux exposés ont eu des déficits de développement cérébral  pour des tests de réflexes de survie, tests de distinction des couleurs, et d'apprentissage ».. « Des différences de comportement ont été observées entre les animaux exposés et les animaux non exposés, et pour les animaux exposés, avant et après leur vaccination MMR ».

Les recherches mandatées par le gouvernement US devaient commencer cette année, mais les fonds furent supprimés début janvier.  Sous prétexte de conflits d'intérêts avec des travaux en cours, le CDC, longtemps supporter des vaccinations des nourrissons, annula les projets de recherche.

Le plus choquant dans cette pratique médicale récente et maintenant courante c'est d'effectuer de multiples vaccinations, soutenues par la pratique agressive des laboratoires pharmaceutiques, à des nourrissons à peine quelques heures après la naissance, malgré le fait qu'aucune étude portant sur des vaccins multiples habituellement administrés aux US et au Royaume Uni n'aient été effectuée jusqu'à présent. La pratique des multivaccinations des nouveaux-nés s'est répandue en Allemagne et dans d'autres pays de l'UE au cours des dix dernières années. Il s'en suivit des rapports sur un accroissement considérable des cas d'autisme dans différents hôpitaux allemands dans la dernière décade, justement la période où la multivaccination des nourrissons était devenue systématique.



Attitude du Gouvernement US


Tragiquement, le Gouvernement US missionna pour la sauvegarde de la santé publique la FDA (Food and Drug Administration), avec par exemple le cas des dangers des OGM sur la santé ainsi que l'évidence dramatique du lien entre l'autisme et les adjuvants utilisés dans les vaccins majeurs, cette même FDA qui accepte les arguments des compagnies pharmaceutiques importantes tant sur les plans politiques que financiers.

La FDA considère les vaccins comme sûrs mais, comme pour les OGM, n'a mené aucune étude ni test sur les effets des multivaccinations sur les nourrissons, malgré les problèmes depuis 1990, et maintenant au Royaume Uni et dans l'UE.

Selon Robert F. Kennedy  Jr., fils du défunt attorney général et lui-même avocat actif dans la campagne contre l'exposition au mercure (Thimerosal) et autres toxiques dans les vaccins, « comme l'autisme est un trouble du comportement plus qu'une affection typiquement biologique, les études épidémiologiques n'établissent pas précisément sa cause ». Mais la source principale de données épidémiologiques est le Vaccine Safety Datalink (VSD, censé étudier les effets secondaires des vaccins) qui recense des données sur des milliers d'enfants vaccinés, pour lesquels les services de santé et de ressources humaines se sont bien gardés de tomber dans les mains des avocats et des scientifiques indépendants…Les données brutes collectées dans le VSD fourniraient sans nul doute une évidence épidémiologique nécessaire pour comprendre la relation entre les vaccins et l'autisme. L'absence de telles études permet aux juges de dire aux plaignants qu'ils n'ont pas rempli leur devoir de prouver la cause.

L' autisme était pratiquement inconnu jusqu'en 1943 quand il fut diagnostiqué et identifié 11 mois après que le Thimerosal, un "adjuvant" aux vaccins à base de mercure, fut introduit aux US dans les vaccins pour nourrissons, avec d'autres composés à base d'aluminium. Le Thimerosal est souvent utilisé pour contrôler la croissance de bactéries et de champignons dans les vaccins, malgré l'évidence de ses effets secondaires très néfastes comme neurotoxine puissante. Selon des études indépendantes, la Russie, le Japon, l'Autriche, le Dannemark, la Suède et l'Angleterre ont interdit le Thimerosal des vaccins infantiles. A ce jour l'Allemagne ne l'a pas fait. Ce toxique a été développé en 1930 par Eli Lilly. Tragiquement en 1991, malgré l'évidence du danger, l'agence gouvernementale US Center for Disease Control (CDC), la même agence qui alimente l'hystérie actuelle sur le danger non prouvé du virus  H1N1, a recommandé que les nourrissons soient vaccinés avec une série de vaccins contenant du mercure, dans certains cas moins de 24 heures après la naissance pour l'hépatite B et à deux mois pour la diphtérie, le tétanos et la coqueluche.

Avant 1989 les enfants non encore scolarisés aux US recevaient 11 vaccins : polio, diphtérie-tétanos-coqueluche, rougeole-oreillons-rubéole (MMR). Puis jusqu'en 1999, à cause des recommandations du CDC, le nombre de vaccinations passa à 22 avant l'école primaire. L'explosion du nombre de vaccinations chez les très jeunes aux US fut accompagnée d'une croissance exponentielle du nombre d'enfants autistes selon Kennedy. L'état d'IOWA rapporta une croissance de 700% de l'autisme au début des années 1990, et en comparaison avec la Californie qui avait refusé les vaccins au mercure. Malgré cette évidence, la FDA continue à autoriser l'industrie pharmaceutique à inclure du Thimerosal dans de nombreuses prescriptions paramédicales (sans ordonnance) comme les stéroïdes et le collagène à injecter.

Le gouvernement US livre des vaccins avec du Thimerosal comme conservateur, à beaucoup de pays en voie de développement, dont certains rapportent aussi une explosion soudaine de cas d'autisme. En Chine, où l'autisme était inconnu jusqu'à l'introduction du Thimerosal par l'industrie pharmaceutique américaine en 1999, les rapports de presse indiquent qu'il y a environ 2 millions d'enfants autistes maintenant.

Le nombre de cas d'autisme aux Etats-Unis a explosé quand 40 millions d'enfants ont été vaccinés en 1990 avec des vaccins au Thimerosal, augmentant leur taux de mercure-poison accumulé. Le niveau d'éthylmercure administré habituellement à des enfants de 2 mois était 99 fois supérieure à la dose quotidienne reconnue par le gouvernement. Avec la déclaration actuelle de pandémie de l'OMS relative à la grippe porcine H1N1, le Comité des vaccins du CDC compte de nombreux membres très liés à l'industrie pharmaceutique. Le Dr. Sam Katz, président de ce comité était un consultant rémunéré par la plupart des compagnies pharmaceutiques produisant les vaccins qu'il "recommandait".

 

Il y a toujours le danger de l'aluminium

Maintenant il y a des vaccins sans Thimerosal (50% mercure) aux USA, mais pratiquement tous les vaccins contiennent de l'aluminium, qui a conduit à des défauts de développement neurologique chez les enfants. L'aluminium n'a pas remplacé le Thimerosal comme conservateur des vaccins ; il a toujours été utilise dans les vaccins.

Au cours des dernières années, la plupart des enfants aux Etats-Unis ont été exposés simultanément au Thimerosal et à l'aluminium pour les vaccines suivants: hépatite B, méningite, DTaP (diphtérie-tétanos-coqueluche) et pneumonie. La combinaison du mercure et de l'aluminium renforce les chances de dégâts causés par le mercure.

Selon un rapport récent de Michael Wagnitz, un chimiste américain, "Il y a actuellement 8 vaccins destinés aux enfants qui contiennent une dose d'aluminium de 125 à 850 microgrammes (mcg). Ces vaccins sont administrés 17 fois pendant les 18 premiers mois de la vie, soit six fois plus que ce qui se faisait dans les années 80".

Wagnitz ajoute, "Selon la société américaine pour la nutrition parentérale et entérale, basée sur des solutions d'alimentation intraveineuses, un enfant ne doit pas recevoir plus de 5 mcg d'aluminium par kg de poids et par jour. Ca signifie qu'un enfant de 11 livres ne devrait pas recevoir plus de 25 mcg d'aluminium par jour. Ce niveau a été déterminé comme la limite maximum de sécurité en référence à une étude publiée dans le New England Journal of Medicine sous le titre: "Neurotoxicité de l'aluminium chez les prématurés nourris par perfusion"

Le vaccin de l'hépatite B, administré à la naissance, en contient 250mcg.

Dans une directive de 1996, "La toxicité de l'aluminum chez les nourrissons et les enfants," l'Académie américaine des pédiatres déclare: "L'aluminum peut causer des dégâts neurologiques. Les gens qui ont des problèmes rénaux et qui développent un taux de plus de 100 mcg par litre dans leur circulation sanguine risquent d'être intoxiqués. Le taux d'aluminium dans le sang doit être inférieur à 100 mcg par litre".

Quel est le taux d'aluminium habituellement contenu dans les vaccins administrés aux enfants allemands, français et autres en U.E.? nul ne le sait. Il serait temps que ces informations soient officiellement publiées, et ceci avant que les gouvernements ne lancent des campagnes de vaccinations de masse avec des vaccins non testés et pour un vague danger de grippe porcine H1N1. 

Le 11 septembre 2009


Article original en anglais, "It's The Vaccines Stupid!" Part I: Evidence Linking Autism Rise in Children to Vaccinations, publié le 5 septembre 2009.

Traduction : Madeleine Chevassus

 
 
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Le vaccin de la grippe porcine est lié à la paralysie
Deuxième partie: "C'est les vaccinations, stupide!"
 
 

Une prétendue "grippe porcine" ou un "virus" H1N1 ne sont pas le danger pour les vies de nos chers petits, nos enfants, nos femmes enceintes. C'est littéralement la panique grâce à l'OMS, au CDC, au gouvernement US et à des medias serviles incapables de demander quelles sont les doses légales de toxines pour se protéger contre une maladie moins grave qu'un rhume ordinaire.

Les quelques détails qui ont commencé à filtrer concernant les fluides que les principales firmes pharmaceutiques veulent injecter dans nos veines, j'ai commencé à en parler dès l'émergence de la grippe porcine du côté de l'usine de porcs à Veracruz au Mexique.

La déclaration de l'OMS de "pandémie de niveau 6", urgence globale de santé, fut une décision politique sans rapport réel avec une "menace virale". Par contre il s'agissait d'une opération injectant plusieurs milliards de dollars de profits dans les coffres-forts d'une poignée de méga multinationales des vaccins - GlaxoSmithKline, Roche (Gilead Science Inc), Baxter Labs, Novartis,  Sanofi Pasteur et quelques autres géants des médicaments -.

De plus, les différents propagateurs de la campagne de peur de l'OMS, l' Institut allemand Robert Koch, le CDC du gouvernement US, sont sujets à caution car leur préoccupation n'est pas la sauvegarde de la santé publique, mais plutôt un projet à long terme de contrôle des populations à travers des méthodes délibérées pour les rendre malades, faibles, partiellement paralysées ou en tout cas trop faibles pour réagir à la crise sociale objective que nous affrontons, la destruction complète du système basé sur le dollar. Pour quelle autre raison les gouvernements respectifs des Etats-Unis, de la République Fédérale d'Allemagne, de Grande-Bretagne et de France avaleraient-ils un tel canular sur la santé ?

Une simple recherche effectuée par un lycéen dans les sources de l'OMS et/ou gouvernementales peut le démontrer. Si vous en doutez, donnez un peu d'argent de poche à vos ados pour qu'ils prouvent, en n'utilisant que les sources officielles publiées sur Internet qu'il n'y a pas de raison sensée – de santé publique – de déclarer des mesures spéciales, pas de raison qui justifie le développement en catastrophe de nouveaux vaccins, non testés, pour les injecter massivement à la population.

Dites leur que l'élève qui fera le meilleur argumentaire à partir des sources officielles aura droit aux honneurs de la classe.

 

Un rapport britannique sur les effets neurologiques du vaccin

Selon une lettre confidentielle d'avertissement du 29 juillet 2009, dont une copie parvint au quotidien anglais Daily Mail, l'Agence de Protection de la Santé du gouvernement britannique, Prof. Elizabeth Miller, à la tête du Département d'Immunologie, prévint les neurologues britanniques que le vaccin de la grippe porcine – qui fut brièvement utilisé dans une vaccination de masse en 1976 aux USA, jusqu'à ce qu'il soit brutalement retiré à cause de ses effets secondaires dangereux – est lié au syndrome de Guillain-Barré (GBS), un destructeur du système nerveux central, menant à la paralysie et même à la mort. Le syndrome attaque la gaine des nerfs, causant la paralysie et l'impossibilité de respirer, et peut être fatal. Il peut causer la paralysie des muscles respiratoires, causant la mort par suffocation.

La lettre de mise en garde du Prof. Miller précise :"Il fut prouvé que les vaccins utilisés pour combattre une grippe porcine à venir en 1976 étaient liés au GBS et ils furent retirés du marché". Ce scandale de la grippe porcine de 1976 obligea le gouvernement US à payer des millions de dollars de dédommagements aux victimes du GBS qui avaient reçu le vaccin.

Le gouvernement britannique prévoit de vacciner 13 millions de citoyens britanniques dès début octobre avec des vaccins H1N1 quasiment non testés. L'unité britannique de surveillance neurologique (BNSU), qui fait partie de l' Association Britannique des Neurologues, a été invitée à surveiller de près tous les cas de GBS pendant la mise en route des vaccinations. Un neurologue senior a dit en aparté à la presse: "Je ne voudrais pas avoir la piqûre de la grippe porcine à cause du risque de GBS".

D'après certaines informations, la lettre de Miller fut envoyée à 600 neurologues britanniques le 29 juillet, signe d'une préoccupation au plus haut niveau, du fait que le vaccin lui-même pourrait causer des complications sérieuses.

La lettre fait remarquer, à propos du même processus de vaccination contre la grippe porcine aux USA en 1976, que "plus de gens moururent de la vaccination que de la grippe porcine elle-même; environ 500 cas de GBS furent identifiés; les vaccins peuvent avoir multiplié par 800 %  le risque de GBS; les vaccins américains furent retirés après seulement 10 semaines  quand les scientifiques officiels finirent par confirmer le lien avec le GBS ; le gouvernement US dût payer 10 millions de dollars aux victimes. La surveillance a duré des jours, on collecta les symptômes de GBS chez ceux qui avaient été immunisés et 25 personnes moururent, ne pouvant plus respirer des suites d'une paralysie sérieuse. Une personne sur 80 000 fut touchée. Par contre, une seule personne mourut de grippe porcine. "

Remarque importante: l'administration Obama a émis une règle particulière exemptant de toute poursuite judiciaire les industriels du vaccin. Le plus inquiétant dans ce contexte, c'est le fait que les nouveaux vaccins n'ont pas été suffisamment testés et que les conséquences sont inconnues, surtout sur les enfants. Cependant les petits enfants et les femmes enceintes seront vaccinés en priorité selon les directives de l'OMS.


Cependant, comme les épidemiologistes européens les plus influents le confirment en privé, les effets de la dénommée grippe A H1N1 ou grippe porcine sont pour le moment très légers, comme un rhume ordinaire, et disparaissent avec quelques jours de repos au lit. Le CDC et les autres agences de santé durent l'admettre : les décès ont tous eu lieu chez des patients qui avaient déjà de très sérieux problèmes respiratoires ou autres maladies graves, et on n'a jamais pu prouver qu'ils étaient causés par la grippe porcine. Il s'agissait de décès  « opportunistes » c'est-à-dire de "coïncidences » et il n'y avait pas de cause à effet.


En fait, le GBS dont on croit qu'il est lié aux adjuvants présents dans les nouveaux vaccins, peut causer la paralysie et la mort. Une femme, Hilary Wilkinson, fut atteinte du GBS et devait être nourrie par goutte-à-goutte, tout en ayant besoin d'une trachéotomie rien que pour respirer. Il lui fallut 3 mois pour réapprendre à marcher et à parler. Elle déclare aujourd'hui, à propos de la grippe porcine : « Ca me rend méfiante que le gouvernement lance cette campagne de vaccination sans avoir une idée précise du risque GBS. Je ne souhaiterais cette maladie à personne. »

 

Une augmentation de 800% du risque de GBS

Une autre lettre met en garde contre le vaccin de la grippe porcine; elle vient de l'association des neurologues britanniques et est signée par le Dr. Rustam Al-Shahi Salman et le Professeur Patrick Chinnery; elle dit : "Suite au programme de vaccination de 1976 contre la grippe porcine aux Etats-Unis, une étude rétrospective a montré une possibilité de multiplication par 8 de l'incidence du GBS". C'est du 800% après la vaccination de 40 millions d'Américains sur une « alerte sanitaire» équivalente, avant qu'on arrête tout brusquement. La campagne de vaccination de masse de 1976 fut abandonnée après que des centaines de cas de GBS furent diagnostiqués, et 25 décès.

Un programme de vaccination d'urgence était soutenu par le Président Gerald Ford cette année-là parce que le patron du CDC (Center for Disease Control), le Dr. David Sencer, avait convaincu la Maison Blanche que la souche de la grippe porcine était la même que celle ayant causé la pandémie de 1918-19, qui selon lui a tué un demi million d'Américains et 20 millions de gens au niveau mondial. Sencer fut écarté et dut démissionner quelques mois plus tard. La campagne hystérique du CDC et de l'OMS actuels sur « la grippe A H1N1 et la grippe porcine » ont beaucoup de points communs avec celle de 1976.

Selon le docteur britannique Tom Jefferson, coordinateur de la section des vaccins of the de l'influent cercle Cochrane Collaboration, un groupe anglais indépendant qui contrôle la recherche pharmaceutique, "Les nouveaux vaccins ne se conduisent jamais comme on l'aurait supposé. Il se peut qu'il y ait un lien avec le GBS, une affection que je ne souhaite à personne. Mais il se pourrait que ce ne soit plus lié au hasard, car un des additifs au vaccin est une substance nommée  squalène, et aucune des études que nous avons compulsées n'en fait mention." Le squalène, une enzyme existant naturellement, pourrait potentiellement causer des effets secondaires aujourd'hui inconnus.

En d'autres termes, la nouvelle version de vaccin pour la grippe porcine H1N1, est un cocktail non testé et potentiellement dangereux de produits chimiques et de fragments viraux qui pourraient vraisemblablement être liés à des dégâts neurologiques très importants, ou pire.

Les médecins et scientifiques tirent la sonnette d'alarme sur ces dangereux effets secondaires neurologiques parce que le gouvernement ne le fait pas. Les gouvernements et les compagnies pharmaceutiques ne veulent pas que les gens connaissent les risques associés au vaccin, alors ils les passent sous silence. De même ils ne font pas allusion au fait surprenant que les vaccins n'ont jamais été testés sur des enfants ou des femmes enceintes, bien qu'il s'agisse des deux premiers groupes ciblés pour la vaccination. 

Les vaccins sont la vache à lait des profits de l'industrie pharmaceutique. Grâce aux vaccins, l'industrie pharmaceutique prépare des générations de futurs profits venant des maladies que de nombreuses études ont identifiées comme venant, ou étant amplifiées par les vaccins, comme la maladie d'Alzheimer, le cancer, l' autisme, la maladie de Parkinson et bien d'autres.

Le porte parole pour la santé du parti conservateur britannique, Mike Penning a déclaré: "La dernière chose que nous voulons, c'est l'échange de lettres secrètes autour des experts du NHS (National Health Service). Notre tâche est d'être sûrs que le public sache ce qui se passe. Pourquoi le gouvernement n'y est –il pas favorable? C'est aussi très inquiétant que les médecins sensés administrer le vaccin ne soient pas au courant."

Le 12 septembre 2009

Article original en anglais,
Swine Flu Vaccine Linked to Paralysis, Part II: "It's the Vaccine, Stupid!",  publié le 8 septembre 2009.

Traduction de Madeleine Chevassus.